VIDÉO – Dans Quelle époque, le 13 décembre, Roselyne Bachelot a captivé l’assistance en partageant une anecdote étonnante vécue à l’Assemblée nationale.
EN BREF
- Roselyne Bachelot raconte une découverte insolite à l’Assemblée nationale.
- Elle a trouvé un sextoy caché derrière un réfrigérateur dans son bureau.
- Pour s’en débarrasser, elle a improvisé une promenade à Paris.
Ce samedi 13 décembre, l’ancienne députée Roselyne Bachelot a été l’invitée de l’émission Quelle époque, diffusée sur France 2. À cette occasion, elle a partagé une anecdote tirée de son riche parcours politique. Ce moment a été mis en lumière grâce à l’interrogation du journaliste Hugo Clément, qui a profité d’un sketch humoristique sur une célèbre marque de sextoys pour inviter Bachelot à raconter une histoire quelque peu improbable vécue lors de sa carrière au sein de l’Assemblée nationale.
Elle a replongé l’audience dans un moment cocasse : « J’étais en train d’emménager dans mon bureau de députée, et les ouvriers avaient fait des travaux. En déplaçant le réfrigérateur encastré, je suis tombée sur un énorme sextoy. » Élue depuis 1988 dans la première circonscription de Maine-et-Loire, qu’elle a occupée pendant treize ans avant de revenir brièvement en 2002 et 2007, Roselyne a confié sa peur que l’objet soit attribué à son propre usage. « J’avais une crainte, celle que l’on pense que cela m’appartienne. Je me suis donc empressée de m’en débarrasser, mais pas sans mal », a-t-elle développé sur le ton de l’humour.
Dans cette situation cocasse, Roselyne Bachelot a alors décidé de ne pas jeter l’objet dans une poubelle ordinaire, craignant un jugement hâtif de la part d’éventuels huissiers : « Je me disais : ‘Si les huissiers trouvent ça, ils vont penser que je ne m’ennuie pas !’ » Elle a donc opté pour une méthode un peu plus discrète. « J’ai enveloppé l’objet dans un journal et j’ai déambulé sur le boulevard Saint-Germain. Chaque fois que je pensais le jeter, je croisais quelqu’un que je connaissais. »
Elle a finalement décidé de poursuivre sa route jusqu’à l’Institut du Monde arabe pour se débarrasser de ce souvenir peu ordinaire de la vie politique. Avec un sourire partagé, Bachelot a conclu son récit en évoquant ses récentes expériences littéraires, rappelant la sortie de son dernier livre, Omerta française, secrets d’enfance.
Cette anecdote, à la fois légère et révélatrice, illustre parfaitement le parcours atypique d’une femme qui a su mêler humour et sérieux tout au long de sa carrière. Dans un monde politique parfois austère, il est agréable de se rappeler que des instances de légèreté peuvent surgir, même aux plus hautes sphères de la République.